Juan Diego Flórez

En Italie, Flórez a rencontré de grands succès à la Scala de Milan (dans l’Armide de Gluck, Falstaff, Il Cappello di paglia di Firenze de Nino Rota, Le Barbier de Séville, La Pazza per amore, La Somnambule, L’Italienne à Alger, La Cenerentola, La Fille du régiment, ainsi que dans divers concerts et récitals), au Teatro Comunale de Florence (Le comte Ory, Falstaff), au Teatro Carlo Felice de Gênes (La Cenerentola, Le comte Ory, La Dame du Lac, La Fille du regiment), au Rossini Opera Festival de Pesaro (Matilde di Shabran, Il signor Bruschino, Petite Messe Solennelle, La Cenerentola, Le Voyage à Reims, La Dame du Lac, Stabat Mater, Le comte Ory, Le Barbier de Séville, Otello, Zelmira, …), au Teatro Regio de Turin (La Somnambule, Stabat Mater, Marie Stuart), à l’Académie Sainta Cecilia de Rome (Stabat Mater et Cantates de Rossini), au Teatro Comunale de Bologne (Le Voyage à Reims, Le Barbier de Séville, La Fille du régiment, Le Comte Ory, Les Puritains), au Philharmonique de Vérone (L’Italienne à Alger, Le Barbier de Séville), à l’Opéra de Rome (Le Barbier de Séville, L’Italienne à Alger), à San Carlo de Naples, et au Teatro Massimo de Palerme.

A l’étranger, on a pu entendre Flórez au Metropolitan de New York (Le Barbier de Séville, La Cenerentola, L’Italienne à Alger, Don Pasquale, Le Fille du Régiment, La Somnambule), au Lyric Opera de Chicago (La Cenerentola), au San Francisco Opera (La Cenerentola, La Fille du régiment), à l’Opéra de Los Angeles (Le Barbier de Séville), à Covent Garden (Elisabetta de Donizetti, L’Otello de Rossini, La Cenerentola, La Somnambule, Don Pasquale, La Fille du régiment, Matilde di Shabran, Le Barbier de Séville), au Staatsoper de Vienne (Le Barbier de Séville, L’Italienne à Alger, Gianni Schicchi, La Somnambule, Les Puritains, La Fille du régiment, l’Elisir d’amore), au Salzburg Festival (La Dame du Lac), au Musikverein de Vienne (Stabat Mater), au Konzerthaus de Vienne (Semiramide), à l’Opéra de Paris (L’Italienne à Alger, La Cenerentola, La Dame du Lac), au Théâtre du Châtelet (Falstaff), au Festival Radio France de Montpellier (La Dame du Lac), au Deutsche Oper de Berlin (La Somnambule), au Bayerische Staatsoper de Munich (L’Italienne à Alger), au Teatro Real de Madrid (Le Barbier de Séville, Orfeo, Les Puritains), au Gran Teatre del Liceu à Barcelone (Stabat Mater, Marie Stuart, Semiramide, La Cenerentola, La Fille du régiment), à la Maestranza de Séville (Alahor à Grenade), au Staatsoper de Dresde (Rigoletto), à l’Opernhaus de Zurich (Cenerentola, Don Pasquale). Il s’est également produit à Moscou, à Tokyon, Varsovie, Caracas, Lisbonne, Sao Paulo, Saint-Pétersburg, Toulouse, Nice, Lyon, et Hambourg.

Juan Diego Flórez a chanté sous la baguette des plus grands chefs, tels que Riccardo Muti, James Levine, Riccardo Chailly, Myung-Wun Chung, John Elliot Gardiner, Daniele Gatti, Gianluigi Gelmetti, Neville Marriner, Antonio Pappano, Roberto Abbado, Carlo Rizzi, Nello Santi, Marcello Viotti, Christophe Rousset, Jesùs Lopez Cobos, Michele Mariotti, Alberto Zedda, et Gustavo Dudamel.

En 2007, il brise la tradition de La Scala en y chantant un bis, le premier du théâtre depuis 75 ans. Cela est arrivé dans La Fille du régiment, avec le fameux air « Ah ! mes amis, quel jour de fête ! », qui comporte neuf contre-ut. L’année suivante, il arrive la même chose au Metropolitan Opera.

Jusqu’à 2015, Flórez a des projets à La Scala de Milan, au Metropolitan Opera de New York, à Covent Garden, au Staatsoper de Vienne, à l’Opéra de Paris, au Rossini Opera Festival de Pesaro, au Teatro Real de Madrid, au Liceu de Barcelone, et au Deutsche Oper de Berlin. En mars 2001, il a signé un contrat d’exclusivité pour la maison de disques Decca.

Il a recu le Prix Abbiati, décerné par des critiques italien, le Rossini d’Or à Pesaro, le Prix Aureliano Pertile, le Prix Francesco Tamagno, l’Opera Award Prize, le Prix Bellini, le ISO d’or, et le Prix Plácido Domingo Award. Ses disques ont été décorés de nombreuses médailles importantes, comme le Choc du Monde de la Musique, le ECHO Klassik Preis, et le Cannes Classical Award. Il a également reçu la plus haute distinction péruvienne décernée par le gouvernement : le Orden del Sol, Gran Cruz.