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Johann Kuhnau, Magnificat en ut majeur

1. Magnificat anima mea Dominum

2. Et exultavit spiritus meus

3. Choral: "Vom Himmel hoch, da komm’ ich her"

4. Quia respexit humilitatem

5. Quia fecit mihi magna

6. Freut euch und jubiliert

7. Et misericordia

8. Fecit potentiam

8. Fecit potentiam

9. Gloria in excelsis Deo

11. Virga Jesse floruit

12. Suscepit Israel

13. Sicut locutus est

14. Gloria Patri

Jean-Sébastien Bach, Cantate « Meine Seel' erhebt den Herren », BWV 10

1. Choeur : "Meine Seel' erhebt den Herren"

2. Air : "Herr, der du stark und mächtig bist"

3. Récitatif : "Des Höchsten Güt und Treu"

4. Air : "Gewaltige stösst Gott vom Stuhl"

5. Duo : "Er denket der Barmherzigkeit"

6. Récitatif : "Was Gott den Vättern alter Zeiten"

7. Choral : "Lob und Preis sei Gott dem Vater"

Jean-Sébastien Bach, Magnificat en mi bémol majeur, BWV 243a

1. Magnificat anima mea Dominum

2. Et exultavit spiritus meus

3. Choral: "Vom Himmel hoch, da komm’ ich her"

6. Quia fecit mihi magna

5. Omnes generationes

6. Quia fecit mihi magna

7. Choral: Freut euch und jubiliert

8. Et misericordia

9. Fecit potentiam

10. Gloria in excelsis Deo

11. Deposuit potentes

12. Esurientes implevit bonis

13. Virga Jesse floruit

14. Suscepit Israel

15. Sicut locutus est

16. Gloria Patri

Ton Koopman dirige Bach et Kuhnau

Bachfest Leipzig 2003

Concert
Abonnés

Casting

Deborah York — Soprano

Bogna Bartosz — Chanteuse, mezzo-soprano

Jörg Dürmüller — Chanteur, ténor

Klaus Mertens — Chanteur, baryton, basse

Amsterdam Baroque Choir — Chanteur

Amsterdam Baroque Orchestra

Ton Koopman — Organiste, chef d'orchestre

Programme

À Leipzig, Ton Koopman livre un « Magnificat » de Bach plein de ferveur.

Le nom de Ton Koopman est intimement lié à l'aventure baroque, au même titre que celui de Gustav Leonhardt auprès duquel il a appris le clavecin au conservatoire d'Amsterdam, la Mecque au début des années 1970 du « revival » baroque. Organiste et claveciniste, Ton Koopman fonde l'Amsterdam baroque Orchestra puis l'Amsterdam baroque choir, les deux ensembles avec lesquels on le retrouve quelques décennies plus tard, en 2003, à Leipzig.

Pour rendre hommage à son glorieux compositeur, Leipzig organise chaque année autour de l'Ascension un « Festival Bach », rendez-vous incontournable de tous les baroqueux de la planète. C'est en effet dans cette ville que Jean-Sébastien Bach a vécu les vingt-sept dernières années de sa vie (1685-1750) et qu'il a occupé de nombreuses fonctions, dont principalement celle de cantor de l'église Saint-Thomas.

Ce soir de 2003, Ton Koopman dirige dans cette église un programme en miroir : le Magnificat de Johann Kuhnau, le compositeur auquel Bach a succédé à l'orgue de Saint Thomas, et le Magnificat de Bach lui-même. Entre les deux, la Cantate BWV10. Avec des chanteurs, un orchestre et des chœurs parfaitement rompus à l'exercice, Koopman offre une soirée pleine de ferveur sous les voûtes de cet édifice qui a résonné des accords de Bach lui-même.

À la rencontre des compositeurs

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