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Franz Lehár, Die lustige Witwe (La Veuve joyeuse)

I : Introduction - «Verehrteste Damen und Herren»

I : «So kommen Sie!...Ich bin eine anständ'ge Frau»

I : «Bitte, meine Herr'n...Gar oft hab' ich's gehört»

I : «O Vaterland...Da geh' ich zu Maxim»

I : «Damenwahl!»

I : «Oh kommet doch, ihr Ballsirenen»

I : «Der junge Mann tanzt Polka»

II : Intoduction

II : «Es lebt eine Vilja»

II : «Heia, Mädel, aufgeschaut...Dummer, dummer Reitersmann»

II : «Wie die Weiber man behandelt? - Ja, das Studium der Weiber ist schwer»

II : Dialog - Spielszene und Tanzduett mit Dialog

II : «Mein Freund, Vernunft - Wie eine Rosenknospe im Maienlicht erblüht»

II : «Ha! Ha! Wir fragen, was man von uns will? - Den Herrschaften hab' ich was zu erzählen»

II : «Ein flotter Ehestand soll's sein - Das hat Rrrrass'»

II : «Es waren zwei Königskinder»

III : Tanzszene

III : «Ja, wir sind es, die Grisetten»

III : «Lippen schweigen»

III : «Ja, das Studium der Weiber ist schwer»

La Veuve joyeuse de Lehár

Helmut Lohner (mise en scène), Franz Welser-Möst (direction) – Opernhaus Zürich

Opéra
Abonnés

Casting

Helmut Lohner — Mise en scène

Rolf Langenfass — Décors, costumes

Robertus Cremer — Création lumières

Giorgio Madia — Chorégraphe

Dagmar Schellenberger — Hanna Glawari

Rodney Gilfrey — Graf Danilo

Ute Gfrerer — Valencienne

Programme

À la recherche du seul plaisir, La Veuve joyeuse combine avec bonheur tous les éléments qui firent le succès de l'opérette : légèreté, gouaillerie, comique de situation ; éléments ici portés avec brio par un casting enjoué, dont la magnifique Dagmar Schellenberger dans le rôle d'Hanna Glawari.

Jamais sérieux, toujours euphorique, le genre de l'opérette se plaça à contre-courant de la grandiloquence parfois ampoulée du Grand Opéra français, une réaction anti-intellectuelle et moqueuse des codes mis en place par le couple Meyerbeer-Scribe. Mais rien ne définit mieux l'opérette que le bon mot de Saint-Saëns : « l'opérette est une fille de l'opéra-comique, une fille qui a mal tourné, mais les filles qui tournent mal ne sont pas toujours sans agrément ». De fait, La Veuve joyeuse, créé en 1905 à Vienne, fut représenté plus de vingt mille fois dans les quatre années qui suivirent. Un succès considérable...

Toutefois, sous une apparente simplicité pointent les contradictions, les discordances manifestes entre l'exubérance affichée par la classe bourgeoise et la fuite en avant d'une société entière vivant les derniers feux du 19e siècle. Alors on y danse : la valse, le galop, le cancan ! Dernières bacchanales, derniers témoignages avant la chute d'un ordre ancien. La Belle Époque, bientôt, ne sera plus.

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