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Giacomo Puccini, Madame Butterfly

I : Introduction

I : « E soffitto... e pareti... »

I: « Questa è la cameriera »

I: « Dovunque al mondo »

I : « Quale smania vi prende! »

I : « Quanto Cielo! »

I : « Gran ventura »

I : « L'Imperial Commissario »

I : « Vieni, amor mio! »

I : «Ieri son salita tutta sola in segreto alla Missione»

I : « Ed Eccoci in Famiglia »

I : « Viene la sera»

I : « Bimba dagli occhi pieni di malia »

I : « Vogliatemi bene »

II : « E Izaghi ed Izanami, Sarundasico e Kami »

II : « Un bel dì vedremo »

II : « C'è. Entrate »

II : « Non lo sapete insomma »

II : « A voi però giurerei fede costante »

II : « Ora a noi »

II : «E questo? E questo?»

II : «Che tua madre dovrà prenderti in braccio»

II : « Io scendo al piano »

II : «Vespa! Rospo maledetto!»

II : «Una nave da guerra»

II : «Scuoti quella fronda di ciliegio»

II : «Or vienmi ad adornar»

II : «Coro a bocca chiusa» (Humming Chorus)

II : « Oh eh, oh eh »

II : «Già il sole!»

II : « Povera Butterfly »

II : «Io so che alle pene»

II : «Addio fiorito asil»

II : « Glielo dirai »

II : « Che vuol da me »

II : «Come una mosca prigionera»

II : «Con onor muore... Tu, tu? Piccolo Iddio»

Madama Butterfly de Puccini

Moshe Leiser et Patrice Caurier (mise en scène), Antonio Pappano (direction) – Avec Ermonela Jaho (Cio-Cio-San), Marcelo Puente (Pinkerton), Scott Hendricks (Sharpless)

Opéra
Abonnés

Casting

Moshe Leiser — Mise en scène

Patrice Caurier — Mise en scène

Christian Fenouillat — Scénographie

Agostino Cavalca — Costumes

Christophe Forey — Création lumières

Ermonela Jaho — Cio-Cio-San

Marcelo Puente — B.F. Pinkerton

Programme

Sixième opéra le plus joué au monde selon Operabase, Madame Butterfly est né à une époque où l’Europe découvre le charme des contrées lointaines et, par là-même, l’abîme culturel qui l’en sépare – on se souvient de L’Africaine de Meyerbeer, par exemple. Le thème éculé de l’esclave envoûté par le charme de l’homme blanc est renouvelé ici par l’ouverture à un horizon nouveau, le Japon. Nouvel orientalisme – l’échelle pentatonique donne le ton –, Madame Butterfly est ainsi un descendant direct des « Turqueries » du 17e siècle à côté de Mikado de Gilbert et Sullivan, Madame Chrysanthème de Pierre Loti dans lequel Puccini puise abondamment, ou encore Iris de Mascagni. Un univers à la croisée de l’Orient et l’Occident que restitue bien la mise en scène minimaliste de Moshe Leiser et Patrice Caurier ; la scène est articulée autour de la demeure de Pinkerton et Cio-Cio-San, une plateforme liée ici et là par des planches comme en écho aux pontons et cours d’eau japonais.

Comme La Fanciulla (avec sa Minie), Gianni Schicchi et surtout Turandot, Madame Butterfly vit et meurt par sa seule protagoniste, Cio-Cio-San, jeune épouse japonaise du fringant Lieutenant officier américain Pinkerton. Une responsabilité qu’assume avec un grand professionnalisme la soprano albanaise Ermonela Jaho dont le jeu intime et nuancé concentre toute l’intensité du drame. Antonio Pappano, directeur musical du Royal Opera House et connu pour ses interprétations de Puccini, fait parler et crier l’orchestre avec une rare expressivité. 

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