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Giacomo Puccini, Turandot

I: "Popolo di Pekino"

I: "Padre! Mio Padre!"

I: "Gira la cote! Gira!"

I: "Perché tarda la luna?"

I: "O giovinetto!"

I: "Figlio, che fai?"

I: "Silenzio, olà!"

I: "Non indugiare!"

I: "Signore, ascolta!"

I: "Non piangere, Liù!"

II, 1: "Olà, Pang! Olà, Pong!"

II, 1: "O Cina, o Cina"

II, 1: "Ho una casa nell'Honana"

II, 1: "O mondo pieno di pazzi innamorati"

II, 1: "Addio, amore!"

II, 2: "Gravi, enormi ed imponenti"

II, 2: "Un giuramento enorme mi costringe"

II, 2: "Diecimilla anni al nostro imperatore!"

II, 2: "In questa Reggia"

II, 2: "Straniero, ascolta! ... Nella cupa notte"

II, 2: "Guizza al pari di fiamma"

II, 2: "Gelo che ti dà foco"

II, 2: "Gloria, o vincitore"

II, 2: "Tre enigmi m'hai proposto!"

II, 2: "Ai tuoi piedi ci prostriam"

Acte III

III, 1 : « Nessun dorma ! »

III, 1: "Quel nome!"

III, 1: "Tu, che di gel sei cinta"

III, 1: "Principessa di morte!"

III, 1: "Che è mai di me?"

III, 2: "E li ho spregiati"

III, 2: "Arbitra son del tuo destino"

III, 2: "Diecimilla anni al nostro Imperatore!"

Turandot de Puccini

Claus Guth (mise en scène), Marco Armiliato (direction) — Avec Asmik Grigorian (Turandot), Jonas Kaufmann (Calaf), Kristina Mkhitaryan (Liù)...

Opéra
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Casting

Claus Guth — Mise en scène

Etienne Pluss — Décors

Ursula Kudrna — Costumes

Olaf Freese — Création lumières

Roland Horvath — Conception vidéo

Sommer Ulrickson — Chorégraphe

Konrad Kuhn — Dramaturgie

Nikolaus Stenitzer — Dramaturgie

Programme

« Ici s’achève l’opéra du Maestro. Il en était là quand il est mort », ces mots prononcés par le grand chef d’orchestre Arturo Toscanini marquent la fin de la toute première représentation du chef d'œuvre de Puccini à la Scala en 1926 : Turandot. Les lourds rideaux de velours se ferment six mesures après la sortie du cortège entourant la cadavre de Liù – là où le crayon du grand compositeur s’est posé pour la dernière fois, emporté par un cancer de la gorge sur son lit d’hôpital de Belgique en 1922. C’est l’oeuvre d’une vie qui s’achève alors : réunissant l’ensemble des sujets explorés par le compositeur au cours de ses précédentes créations – le mystique et le fantastique de Le Villi (1884), le drame intimiste aux mélodies expressives de La Bohème (1896), le faste orchestral et mélodramatique de Tosca (1900), l’histoire d’amour heureuse de La Fanciulla del West (1910) et les sonorités orientalisantes de Madame Butterfly (1904) – Turandot  est le projet le plus ambitieux, le plus complexe et le plus exquis jamais composé par Puccini. 

Basé sur l'œuvre de Carlo Gozzi, le livret de Giuseppe Adami et Renato Simoni nous plonge dans un Pékin de légende, gouverné par l’Empereur Altoum (Jörg Schneider) et sa fille, la cruelle Princesse Turandot (Asmik Grigorian). Peu désireuse de se marier, celle-ci impose à ses prétendants une épreuve en trois énigmes, dont l’échec conduit à la mort. Dans la ville, le Prince Calaf (Jonas Kaufmann) et son père Timur (Dan Paul Dumitrescu), roi déchu de Tartarie se cachent au milieu de leurs ennemis, accompagnés de leur jeune servante Liù (Kristina Mkhitaryan), amoureuse du prince. Malgré les protestations de Timur et de Liù, Calaf, ébloui par la beauté de Turandot, se soumet à l'épreuve des trois énigmes qu’il remporte brillamment. Turandot supplie alors son père de ne pas la marier et le prince, désirant un mariage d’amour, lui propose à son tour un défi : il accepte de mourir si elle parvient à trouver son nom avant l’aube. Pour le découvrir, cette dernière n’hésite pas à torturer Liù qui, refusant de parler, finit par se donner la mort dans une ultime preuve de loyauté. Calaf, choqué par cette cruauté, offre lui-même sa vie à Turandot en lui révélant son nom. Bouleversée par ce geste, la carapace de cette dernière s’effrite et au moment de révéler sa victoire à son peuple, elle proclame : « Son nom est Amour ! ».

Faire un opéra de mélodie : c’est l’ambition et la grande réussite de Puccini à travers Turandot – rares sont ceux qui n’ont jamais croisé le chemin du fameux air « Nessum dorma » ! Portée par un casting exceptionnel, la mise en scène de Claus Guth met en valeur les accents satiriques de cette tragédie ; et sous la baguette de Marco Armiliato, les pièces orchestrales, plus beaux exemples du génie puccinien, se révèlent dans toute leur majesté !

Photo © Monika Rittershaus

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