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Richard Strauss, Le Chevalier à la rose, Suite pour orchestre, op. 59

Prélude et présentation de la Rose

Richard Wagner/Leopold Stokowski, "Love Music" from "Tristan und Isolde" (Symphonic Synthesis)

Jacques Offenbach, Les Contes d'Hoffmann

Barcarolle

Jules Massenet, Werther

III : « Toute mon âme est là ! Pourquoi me réveiller, ô souffle du printemps » (Werther)

Felix Mendelssohn-Bartholdy, Songe d'une nuit d'été, Musique de scène, op. 61

1. Scherzo

Emmerich Kálmán, Comtesse Maritza

I : « Wenn es Abend wird - Grüß mir mein Wien »

Maurice Jarre, Le Docteur Jivago

Suite

Aram Khatchatourian, Pièces extraites du ballet « Spartacus »

Adagio de Spartacus et Phrygia

Giacomo Puccini, Turandot

III, 1 : « Nessun dorma ! »

Rudolf Sieczyński, Wien, du Stadt meiner Träume

Johann Strauss II, Wiener Blut, Valse, op. 354

Concert d'une nuit d'été 2020 de l'Orchestre philharmonique de Vienne

Avec Valery Gergiev et Jonas Kaufmann

Concert
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Casting

Jonas Kaufmann — Ténor

Orchestre philharmonique de Vienne

Valery Gergiev — Chef d'orchestre

Programme

Chaque année, alors que s’allongent les jours, l’Autriche accueille l’un des rendez-vous immanquables du calendrier classique, le Concert d’une nuit d’été du Philharmonique de Vienne. Cet évènement magique réunit autour du prestigieux ensemble des invités de marque, ainsi qu’un public qui dépasse régulièrement les 100000 personnes dans les somptueux jardins du Château de Schönbrunn, monument classé au patrimoine mondial de l’UNESCO.

Les chants de l’amour sont au programme du Concert d’une nuit d’été 2020, qui voit le Philharmonique de Vienne se joindre à Valery Gergiev (lors de sa quatrième participation à l’évènement) et au ténor de renom Jonas Kaufmann, et ouvrir le bal avec l’Ouverture passionnée du Chevalier à la rose de Richard Strauss. Entre des extraits de chefs-d’œuvre du romantisme comme Tristan und Isolde de Wagner, de musiques de films comme Docteur Jivago de Maurice Jarre, ou encore Les Contes d’Hoffmann d’Offenbach, Jonas Kaufmann ravit le public de ses interprétations d’arias. On retrouve notamment des airs tirés de Werther de Massenet, de Comtesse Maritza de Kálmán, et le poignant « Nessun dorma! » de Puccini, tiré de Turandot. L’exquis concert se clôt avec une chanson d’amour dédiée à la ville elle-même : l’enchanteresse Wien, du Stadt meiner Traüme (« Vienne, ville de mes rêves »).

Photo © Julius Silver

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