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Antonín Dvořák, Symphonie n° 7 en ré mineur, op. 70

1. Allegro maestoso

2. Poco adagio

3. Scherzo : Vivace – Poco meno mosso

4. Finale : Allegro

Wolfgang Amadeus Mozart, Messe en ut mineur, K. 427

Kyrie

Gloria in excelsis Deo

Laudamus te

Gratias agimus tibi

Domine Deus

Qui tollis peccata mundi

Quoniam tu solus Sanctus

Jesu Christe – Cum Sancto Spiritu

Credo in unum Deum

Et incarnatus est

Sanctus

Benedictus

Sir John Eliot Gardiner dirige Dvořák et Mozart – Avec l'Orchestre philharmonique royal de Stockholm

Concert du Prix Nobel 2008

Concert
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Casting

Miah Persson — Soprano

Ann Hallenberg — Mezzo-soprano

Helge Ronning — Ténor

Programme

Le chef britannique Sir John Eliot Gardiner, grand spécialiste de la musique baroque, a depuis longtemps imprimé sa marque dans les répertoires des siècles ultérieurs.

Rien d'étonnant donc à le retrouver lors du Concert du Prix Nobel en 2008, à Stockholm, dans un programme consacré à la 7ème symphonie de Dvorák et à la Messe en ut mineur de Mozart.

Il y dirige l'Orchestre Philharmonique Royal de Suède, le Monteverdi Choir (cet ensemble d'excellence qu'il fonda à 21 ans, encore étudiant à Cambridge), et l'Eric Ericson's Chamber Choir.

La 7ème symphonie de Dvorák, écrite dans un style délibérément moins « tchèque » que ses autres œuvres, est plus marquée par le langage du romantisme européen. Elle porte trace en particulier de l'influence de Brahms, ami du compositeur, par son caractère majestueux et tragique.

Tout aussi majestueuse, la célèbre Messe en ut de Mozart est une œuvre fascinante, demeurée inachevée. En l'écrivant, Mozart honorait son vœu d'offrir une messe d'action de grâce pour la guérison de Constance, gravement malade peu avant leur mariage. Elle en fut probablement l'interprète, et le bouleversant air de soprano « Et incarnatus est », au cœur de la messe, célèbre tout autant le mystère de l'Incarnation que la beauté de la voix féminine, en des volutes dignes des airs d'opéra les plus ornés. Ce style très chantant, italianisant, contraste avec les numéros contrapuntiques ou choraux qui témoignent de l'intérêt que Mozart portait alors à Bach et Haendel.

Gardiner, comme à son habitude, dirige magistralement et avec passion ces œuvres d'une solennité parfaitement adaptée à la circonstance.

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