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Jacques Offenbach, Les Contes d'Hoffmann

I (Prologue) : Prélude et Introduction - «Glou, glou, glou» (Chœur)

I (Prologue) : «La vérité dit-on» (Chœur)

I (Prologue) : «Le conseilleur Lindorf, morbleu !» (Lindorf, Nicklausse, Andres)

I (Prologue) : «Voyons "Pour Hoffmann" Bon !» (Lindorf)

I (Prologue) : «L'entr'acte commence ...» (Luther, Chœur, Hermann, Nathanaël)

I (Prologue) : «Vive Dieu ! mes amis...» (Nathanaël, Chœur, Hermann, Lindorf, Luther, Hoffmann, Nicklausse)

I (Prologue) : «Notte e giorno mal dormire...Il était une fois à la cour d'Eisenach» (Nicklausse, Hoffmann, Hermann, Nathanaël, Chœur)

I (Prologue) : «À la bonne heure au moins !...» (Nicklausse, Hoffmann, Hermann, Lindorf, Chœur)

I (Prologue) : «Je vous dit, moi, qu'un malheur ma menace» (Hoffmann, Lindorf, Nathanaël, Hermann, Chœur, Nicklausse, Luther)

II : «Là ! dors en paix» (Spalanzani, Hoffmann, Cochenille)

II : «Allons ! courage et confiance» (Hoffmann, Nicklausse)

II : «Voyez-la sous son éventail» (Nicklausse, Hoffman)

II : «C'est moi, Coppelius» (Coppelius, Nicklausse, Hoffman)

II : «Hein ! Vous? Ce cher maître !...» (Spalanzani, Coppelius, Hoffmann, Cochenile)

II : «Non aucun hôte vraiment» (Chorus, Spalanzani, Nicklausse, Hoffmann, Cochenille, Voix de Basse)

II : «Les oiseaux dans la charmille» (Olympia, Chœur)

II : «Ah ! mon ami ! quel accent !» (Hoffmann, Nicklausse, Spalanzani, Chœur, Olympia, Cochenille)

II : «Ils se sont éloignés enfin!...Ah! vivre deux» (Hoffmann, Olympia)

II : «Tu me fuis? .....Oui, pauvres fous» (Hoffmann, Nicklausse, Coppelius, Spalanzani, Cochenille, Olympia, Chœur)

II : «Est-il mort?» (Nicklausse, Spalanzani, Chœur, Cochenille, Hoffmann, Coppelius)

III : «Belle nuit, ô nuit d'amour» (Nicklausse, Giulietta, Chœur)

III : «Et moi, ce n'est pas là, pardieu !...Amis l'amour tendre et rêveur» (Hoffmann, Chœur, Schlémil, Giuletta, Pittichinaccio)

III : «Scintille, diamant !» (Dapertutto)

III : «Cher ange !» (Dapertutto, Giulietta)

III : «Vous me quittez?...O Dieu de quelle ivresse» (Giulietta, Hoffmann)

III : «Schlémil !...J'en étais sûr !» (Giulietta, Schlémil, Hoffmann, Pittichinaccio, Dapertutto, Nicklausse)

III : «Hélas ! mon cœur s'égare encore !» (Septuor)

III: Ecoutez, messieurs ! (Hoffmann, Dapertutto, Giulietta, Nicklausse, Schlémil, Pittichinaccio, Chœur)

IV : «Elle a fui, la tourterelle» (Antonia)

IV : «Malheureuse enfant...» (Crespel, Antonio, Frantz)

IV : «Jour et nuit je me mets en quatre» (Frantz)

IV : «Frantz !... c'est ici !» (Hoffmann, Frantz, Nicklausse)

IV : «Vois sous l'archet frémissant» (Hoffmann, Nicklausse)

IV : «C'est une chanson...Ah ! J'ai le bonheur dans l'âme» (Hoffmann, Nicklausse, Antonia)

IV : «Pourtant, ô ma fiancée...C'est une chanson d'amour» (Hoffmann, Antonia)

IV : «Qu'as-tu donc?» (Hoffmann, Antonia, Crespel, Frantz, Miracle)

IV : «Pour conjurer le danger» (Miracle, Hoffmann, Crespel, Le Voix d'Antonia)

IV : «Ne plus chanter ! Hélas !» (Hoffmann, Antonia)

IV : «Tu ne chantera plus?» (Miracle, Antonia)

IV : «Ta mère ? Oses-tu l'invoquer?...Chère enfant...» (Miracle, La mère d'Antonia, Antonia)

IV : «Mon enfant ! ma fille ! Antonia !» (Finale) (Crespel, Antonia, Hoffmann, Nicklausse, Miracle)

V (Épilogue) : «Voilà quelle fut l'histoire de mes amours...» (Hoffmann, Luther, Lindorf, Nathanaël, Nicklausse, Chœur)

V (Épilogue) : «Vous permettez, Madame !..Pardon ! Kleinzach est incomplet...» (Lindorf, Hoffmann, Andres, Chœur)

V (Épilogue) : «Pauvre Hoffmann» (Nicklausse/La Muse, Chœur)

V (Épilogue) : «Des cendres de ton cœur» (La muse, Chœur, Stella, Lindorf, Hoffmann, Hermann, Luther, Nathanaël, Andres)

Les Contes d'Hoffmann d'Offenbach

Giancarlo del Monaco (mise en scène), Alain Guingal (direction) – Avec Aquiles Machado (Hoffman), Milagros Poblador (Olympia) – Palacio Euskalduna de Bilbao

Opéra
Abonnés

Casting

Giancarlo del Monaco — Mise en scène

Michael Scott — Décors, costumes

Wolfgang von Zoubek — Création lumières

Elena Kalabakas — Assistante à la mise en scène

Aquiles Machado — Hoffmann

Milagros Poblador — Olympia

Valentina Kutzarova — Giulietta

Programme

Un fantastique Aquiles Machado incarnant Hoffmann dans ce voyage au cœur de l'idéal Romantique.

Dans une taverne de Nuremberg, la Poésie révèle son intention d'attirer à elle seule le jeune héros romantique, Hoffmann. Celui-ci, manquant sa chance de rejoindre la prima donna Stella interprétant le Don Giovanni de Mozart dans la pièce voisine, se retrouve finalement au milieu d'une assemblée d'étudiants et conte ses histoires d'amours malheureuses. La première de ses idoles féminines, Olympia, se révéle être un automate, créée de toute pièce par le scientifique Spalanzani, incapable de ce fait de répondre aux élans du jeune soupirant. La seconde, Antonia, est une jeune femme sensible aux talents vocaux extraordinaires, étant la fille d'une célèbre cantatrice, mais dans l'interdiction de chanter en raison d'une maladie mystérieuse qui lui serait fatale si elle venait à briser cet interdit. Sous l'influence néfaste du docteur Miracle, celle-ci cède à son désir de chanter, mourant alors des suites de ses vocalises virtuoses. Accablé par cette deuxième histoire tragique, Hoffmann jure de ne plus succomber aux charmes d'une jeune femme. Cependant Giulietta, courtisane vénitienne, parvient à le séduire et à lui voler son reflet grâce à un miroir aux pouvoirs magiques, avant de partir dans les bras d'un nouvel amant, Pittichinaccio. La Poésie, qui avait pris l'apparence du meilleur ami d'Hoffmann, l'étudiant Nicklausse, révèle finalement sa véritable identité, et l'invite à la rejoindre.

S'éloignant du genre comique caractérisant certaines des œuvres les plus célèbres d'Offenbach, tels les opéras bouffes La Grande-duchesse de Gerolstein ou encore Orphée aux Enfers, Les Contes d'Hoffmann est un opéra fantastique à l'intrigue complexe s'inspirant de trois contes d'E. T. A. Hoffmann : Der Sandmann, Rath Krespel et Das verlorene Spiegelbild. Les Contes d'Hoffmann, ici mis en scène par Giancarlo del Monaco à Bilbao, illustre la quête romantique d'un amour idéalisé, lequel ne pouvant se réaliser dans les relations humaines, se voit sublimé dans la recherche d'un absolu artistique, dans la contemplation poétique du beau.

Photo : E. Moreno Esquibel

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