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Otto Nicolai, Die lustigen Weiber von Windsor (Les Joyeuses Commères de Windsor)

I: «Nein, das ist wirklich doch zu keck»

I: «So geht indes hinein»

I: «Eure Tochter! – Meine Tochter?»

I: «Bin ich erhört! So saget an»

I: «Nun eilt herbei, Witz, heit’re Laune»

I: «So hab ich dich errungen»

I: «Verzeih, mein liebes Weibchen!»

II: «Als Büblein klein an der Mutterbrust»

II: «Und als ich vertreten die Kinderschuh'»

II: «Gott grüss euch, Sir»

II: «In einem Waschkorb?»

II: «Dies ist die Stunde»

II: «Horch, die Lerche singt im Hain»

II: «Fenton! – Mein Mädchen! Doch du hast geweint?»

II: «Bestürmen den die läst’gen Freier»

II: «So! Jetzt hät ich ihn gefangen»

II: «Wer klopft? Macht auf, Herr Fluth»

III: «Vom Jäger Herne die Mär ist alt»

III: «Wohl denn, gefasst ist der Entschluss»

III: «O süsser Mond»

III: «Die Glocke schlug schon Mitternacht»

III: «Ihr Elfen, weiss und rot»

III: «Mücken, Wespen, Fliegenchor»

III: «Er gesteht noch immer nicht»

Les Joyeuses Commères de Windsor d'Otto Nicolai

David Hermann (mise en scène), Christian Zacharias (direction) – Avec Anneke Luyten (Frau Fluth), Sabina Willeit (Frau Reich), Franz Hawlata (Sir John Falstaff)...

Opéra
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Casting

David Hermann — Mise en scène

Rifail Ajdarpasic — Décors

Ariane Isabell Unfried — Costumes

Fabrice Kebour — Création lumières

Anneke Luyten — Frau Fluth

Sabina Willeit — Frau Reich

Franz Hawlata — Sir John Falstaff

Programme

À l'Opéra Royal de Wallonie-Liège, Christian Zacharias dirige l'opéra d'Otto Nicolai Les Joyeuses Commères de Windsor, dans une mise en scène de David Hermann. Créée pour la première fois en 1849 à l'Opéra de Berlin, l'œuvre est inspirée de la pièce de William Shakespeare qui lui fut commandée par la Reine Elisabeth I vers 1597.

Par la mise en scène des aventures subtiles et drôles d'un malheureux filou en quête de bonnes grâces – et d'argent – auprès de coquettes de la ville, la pièce est une perle en matière de caricature des mœurs bourgeoises de l'époque. Tous les ingrédients d'un bon opéra-comique y figurent : des personnages traditionnels de la comédie (le naïf coureur de jupons, les bourgeoises malines et commères, les maris presque cocus…) aux situations cocasses et bien embêtantes pour le pauvre Falstaff, on rit de ce miroir d'exacerbation des vices d'une société en perdition. Amour, ridicule et mystère se côtoient pour former une intrigue en trois actes, savoureuse et très vivante ! Verdi en tira d'ailleurs par la suite son célèbre opéra Falstaff.

Falstaff n'aura qu'à filer doux sous la baguette du pianiste et chef d'orchestre allemand Christian Zacharias. Directeur artistique et chef principal de l'Orchestre de Chambre de Lausanne, sa carrière de pianiste et chef d'orchestre lui a permis de se forger une renommée mondiale. Cet « explorateur musical », qui a fait ses débuts lyriques en 2006 dans La Clémence de Titus au Grand Théâtre de Genève, et qui a déjà dirigé Les Noces de Figaro à l'Opéra Royal de Wallonie, est régulièrement sollicité par les plus grands orchestres en Europe et à travers le monde.

Confiée au jeune metteur en scène franco-suisse David Hermann, et moment important de la saison 2015, la production de cet opéra est un souhait de longue date du directeur de l'Opéra Royal de Wallonie, Stefano Mazzonis di Pralafera.

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